Participation du CIPC à l’émission « Les faits d’abord » sur Radio-Canada

Le 18 mars dernier, le CIPC a été invité à participer à l’émission de radio « Les faits d’abord » sur Radio-Canada pour discuter de la question suivante : Les tueries de masse sont-elles amenées à se multiplier?

Les récents événements tragiques survenus à Amqui, au Québec, ont suscité cette inquiétude. Michelle Côté, conseillère scientifique au CIPC, a pris part à la discussion dans l’objectif de présenter les comportements à risque pouvant être rattachés à ces actions violentes, ainsi que des moyens qui peuvent être mis en place par une approche multi-acteurs pour prévenir différents types de violences liés. Cécile Rousseau, chercheuse, psychiatre clinicienne, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en prévention de la radicalisation violente, également interviewée, recommande de miser sur la prévention pour éviter une augmentation de ces tragédies qui peuvent, mais pas exclusivement, être liées à des enjeux de santé mentale. Dave Poitras, conseiller scientifique spécialisé en prévention de la violence à l’Institut national de santé publique du Québec, a également participé à l’entrevue pour aborder le phénomène de contagion après une tuerie et le rôle que devraient jouer les médias dans ce type de situation.

Pour écouter l’entrevue : http://bit.ly/3JBYBeS

Chronique du CIPC sur France 24

Dans le cadre d’une chronique sciences sur France 24 qui a porté sur la connaissance de moyens au Canada pour détecter et prévenir les risques de délinquance auprès des jeunes enfants, le CIPC a été invité à y intervenir.  

Dans cette entrevue, Anne Vandelle, analyste et coordinatrice des activités et projets au CIPC, s’intéresse au travail qui peut se faire autour d’un ensemble de facteurs de protection chez les jeunes enfants. Ces derniers peuvent avoir un impact positif auprès d’eux, plus précisément sur leur sécurité et leur sentiment de sécurité. À travers quelques exemples de programmes, nous notons l’importance de compenser les facteurs de risques par des facteurs de protections, tels que la santé physique et mentale, et le sentiment de sécurité, afin prévenir les risques de délinquance dès l’enfance.   

Pour visionner la chronique “Crime prevention: Scientific methods help protect minors and their families” :  https://bit.ly/3h9Gy5f